Les Éternels

Intrigue
Dans le vaste univers cinématographique de Marvel, la lumière se braque sur le film monumental, Les Éternels, réalisé par Chloé Zhao. Ce spectacle tisse une histoire complexe d'une ancienne race d'êtres, chargée de protéger le monde contre les menaces humaines et extraterrestres. L'histoire se déroule à une échelle cosmique, avec un récit tentaculaire retraçant les origines des Éternels, un groupe d'êtres immortels créés par le géant céleste, Arishem, pour protéger la Terre du mal. Pendant des millénaires, ces êtres super-puissants résident sur notre planète, se fondant parfaitement dans la société humaine, menant des styles de vie secrets en observant et en intervenant dans les affaires humaines. Au centre de ce drame se trouvent les Éternels eux-mêmes : Ikaris (Richard Madden), un guerrier solitaire et énigmatique; Thena (Angelina Jolie), une archère ancienne et omnisciente ; Ajak (Salma Hayek), le chef spirituel du groupe; Makkari (Lauren Ridloff), une speedster et gardienne; Kingo (Kumail Nanjiani), un guerrier-mage flamboyant et charismatique; Sersi (Gemma Chan), une âme douce avec un fort instinct de protection; Sprite (Lia McHugh), la fille adoptive d'Ikaris ; Phastos (Brian Tyree Henry), un inventeur et bricoleur de génie ; et Dane Whitman (Kit Harington), un descendant ancestral des Éternels. Leur existence tranquille est perturbée par l'émergence des Déviants, des créatures grotesques nées de la colère d'Arishem, qui représentent une bombe à retardement pour l'humanité. Ces êtres monstrueux sont restés longtemps en sommeil, attendant le jour fatidique où ils perturberont le délicat équilibre entre les Éternels et les humains, plongeant le monde dans un chaos cataclysmique. Lorsqu'une attaque brutale des Déviants frappe la planète, un événement catastrophique annonçant l'Armageddon, les Éternels se retrouvent chassés de leurs cachettes, brisant le voile de secret complexe qui les isole de l'humanité depuis des siècles. L'invasion des Déviants enflamme un confluent catastrophique de la nature et de l'histoire humaine, obligeant les Éternels isolés à se réunir une fois de plus pour affronter une ancienne menace qui a été enfouie pendant des éons. L'acte I explore la réémergence des Éternels dans les temps modernes, chaque personnage étant au centre de l'attention. Sersi forme un lien étroit avec Dane, un homme avec un héritage familial illustre dans les annales de l'histoire humaine. Ajak et Ikaris ont des conversations chargées d'émotion sur les anciennes coutumes, tandis que Makkari est aux prises avec des dilemmes moraux personnels et intemporels. Pendant ce temps, la sagesse de Thena sert à rappeler que ces êtres vénérables ont été témoins de l'ascension et de la chute des civilisations – et ont vu le destin s'écrire en grand sur les civilisations comme la toile de l'humanité. L'action éclate avec une férocité à couper le souffle alors que les Éternels se tiennent côte à côte pour faire face à la menace des Déviants. Avec une énergie cosmique jaillissante, l'héroïsme et l'espoir affrontent les ombres du passé, invitant le public à réfléchir à des questions plus profondes sur les conséquences des actions des Éternels pour l'histoire humaine - au-delà de leur détachement isolé. Malgré ces enjeux cosmiques, Chloé Zhao parvient à imprégner chaque membre des Éternels d'un sentiment humaniste tangible de désespoir, en tirant plus profondément des complexités de l'amour, de la famille et de l'humanité, rappelant au public que sous une peau extraterrestre, la vulnérabilité mortelle attend – même si chaque éternel immortel reste résistant aux troubles humains organiques. En plus d'offrir une nouvelle dimension à l'univers des Éternels, le film rend un hommage énergique à leurs antécédents complexes, symbolisant les riches relations nouées à travers d'innombrables époques et avec un amour qui conquiert le temps. Chloé Zhao élargit la portée du film, en examinant les échos récurrents des expériences des Éternels sur la planète Terre à travers d'innombrables civilisations. Rassembler le passé et le présent témoigne du pouvoir qui relie les éléments individuels de cette vaste tapisserie. Chaque fragment temporel doit former une partie essentielle pour raconter l'évolution et dans un rassemblement perpétuel. Apporter l'équilibre à l'histoire humaine, en équilibre, représente leur vérité humaine (éternelle) intrinsèque – quelle que soit la forme qu'ils portent.
Critiques
Thiago
Chloé Zhao is all style and no substance, proving the Oscars directing award has lost its value. She clearly doesn't understand how to make commercial films. The whole movie feels like a self-indulgent "fan-fic chick flick" of her personal MCU experience. The first half's dialogue completely extinguishes the audience's enthusiasm, with no sense of urgency or conspiracy, just a travel vlog-style gathering sequence. The dense action scenes in the second half feel outsourced to a professional CGI team. The editing is fragmented, the pacing is boring, and the plot is dull. The only positive is that they didn't credit Stan Lee as a writer. (Jack Kirby would probably be rolling in his grave if he saw this film.)
Victor
Having seen the whole movie, it's clear that the controversy stems from biased news and out-of-context interpretations, stirring up nationalistic sentiments. Firstly, the focus is misplaced. The key point of that scene is the atomic bomb itself, not Hiroshima. The Black scientist's anguish comes from the realization that technology has led to more brutal self-destruction. The atomic bomb is the most devastating weapon ever used by humanity, marking the beginning of an era where pressing a button could wipe out all of humankind. Therefore, the atomic bombing of Hiroshima symbolizes humanity using technology to destroy itself. Furthermore, the movie clearly states that the Eternals are not allowed to interfere with human wars, but...
Kai
Having lived for millennia, this Eternal witnessed the enslavement and trafficking of Black people and the Chinese, the brutal massacre of Native Americans, and the rampant invasion and slaughter of civilians by fascists across the globe. Yet, he broke down and wept when those fascists were bombed.
Edward
Chloé Zhao is still a force. She managed to create a Journey to the West variation within the Marvel Universe – a team of AI Sun Wukongs discovering their origins and ultimately rebelling against their creator, yet still unable to escape the Buddha's palm. I mean, literally, there's a five-finger mountain! And a "Buddha" figure capturing several Wukongs in the mountain, talking about settling scores later (I burst out laughing at these scenes, but I felt like I was the only one who got it, which was disappointing). It was better than I expected, despite the obvious industrial-level fingerprints all over it. Lastly, when Harry Styles showed up, I don't think the audience reacted at all (disappointment x2 - not that I'm a fan or anything...).
Riley
Didn't disappoint, thoroughly enjoyed it. Barry Keoghan is incredibly captivating, and Druig's ascension as the Dark Lord is top-notch. The casting director really nailed it; each actor has a unique appeal, and the chemistry is fantastic. Gotta say, Angelina Jolie is an absolutely stunning beauty – everyone's in a skintight suit, but she stands out the most; her looks are just exceptional. Her face is also a mesmerizing weapon, with unparalleled fragility and neuroticism; when she gives her speech, she gets into character so quickly… who wouldn't want to be protected by Ma Dong-seok! Gemma Chan's charisma hasn't been completely erased; you can still feel the surging, fresh, natural power in the outdoor scenes. Love is no longer just family love; love is more...
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