La Haine

Intrigue
Les rues de Viraque, une banlieue marginale tentaculaire de Paris, s'embrasent au son du verre brisé, des pneus qui crissent et des cris occasionnels. Au milieu du chaos, un groupe de jeunes amis s'est réuni pour évaluer les conséquences de la nuit de violence. Le groupe, composé de Vinz, Hubert et Saïd, se fraye un chemin à travers les rues désolées, leurs visages éclairés uniquement par le faible clair de lune. Alors qu'ils se déplacent dans les rues vides, ils cherchent des nouvelles de l'état de leur ami, Abdia, qui a été grièvement blessé lors d'une confrontation avec la police. Vinz, un jeune homme fougueux et impulsif, dirige le groupe avec une intensité passionnée à la fois captivante et intimidante. Hubert, quant à lui, est un jeune homme d'humeur changeante et introspectif qui trouve du réconfort dans le domaine de la poésie. Saïd, le plus calme du groupe, est une présence discrète et sans prétention qui a toujours été la voix de la raison. Au fur et à mesure que la nuit avance, le groupe tombe sur une émeute à grande échelle qui a eu lieu au milieu du quartier. Ils voient des murs de bâtiments couverts de graffitis, des vitrines brisées et des véhicules renversés joncher les rues. Ces images en disent long sur la frustration et le ressentiment qui couvent juste sous la surface de la communauté. La scène capture le tourment émotionnel et psychologique brut que les personnages doivent vivre en tant que citoyens marginalisés naviguant entre les sentiments anti-gang et la pauvreté et la criminalité bien réelles qui abondent aux côtés du reste du côté sombre urbain. Le groupe cherche des informations sur l'état d'Abdia, mais en vain. Ils visitent divers lieux de rencontre du quartier, notamment un café miteux et délabré, mais personne ne semble rien savoir sur l'état d'Abdia. Vinz est de plus en plus agité et ses émotions commencent à bouillir. Sa frustration et son inquiétude quant au bien-être de son ami menacent de l'engloutir. Pendant ce temps, Dheepan, une femme réfugiée échappe à une situation pénible, avec ses deux enfants, dans un camp de réfugiés assiégé, où elle a récemment rencontré un autre réfugié qui lui a trouvé un appartement. Dheepan, avant de se remettre de son épreuve troublante, rencontre le garçon de l'autre résident de l'appartement qui en réalité, Dheepan découvre trop tard, n'est rien d'autre que dérangé et est actuellement employé par un sinistre résident du quartier comme bourreau. Dheepan commence à s'intégrer dans le quartier de Viraque avec des sentiments difficiles qui émergent d'un passé antisocial et hanté, accompagnés d'un statut social de personne dans cette communauté précaire.
Critiques
Xavier
Han Han's point is that since we all have to come down to earth eventually, having a graceful pose while in the air is what matters most. Is this perhaps the difference between the angry youth of China and France?
Ivy
Young people should bear in mind the guiding ideology of the first generation of leaders, steadfastly learn and implement the fine revolutionary traditions of France, embrace lofty ideals, stand at the forefront of the struggle, and temper their spiritual character. They should better demonstrate the spirit of forging ahead, seeking change, and innovating, striving to achieve the ambition of being from the streets, of the streets, and beyond the streets, firing the first shot in countering the encirclement of the capitalist system.
Julian
They live in the banlieue of Paris, mired in poverty, jobless, aimless, devoid of a future, with only the fiercely burning flame of youth erupting wildly in black and white visuals. But what about us? We, too, are jobless, futureless, consuming our youth. How are we spending it?
Cayden
Absolutely brilliant. Everyone talks about the fall, but it's the landing that kills you.
Layla
Kassovitz not only vividly portrays the confusion, agitation, and rage of youth but also exposes the living conditions of ethnic minorities in the Parisian slums. The use of techniques such as long panning shots, tracking shots, aerial photography with remote-controlled planes, and zoom shots borders on being a display of virtuosity. Vincent Cassel's performance is exceptionally vibrant. The mirrored doppelganger shot pays homage to [Taxi Driver]. Street cows, pulling up pants while chasing a train, "jusqu'ici tout va bien." (9.0/10)
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