Vorace
Intrigue
Vorace est un film d'horreur américain de 1999 réalisé par David Kajganich et écrit par Ted Levine. Le film se déroule à la fin du XIXe siècle et suit le capitaine John Boyd (Guy Pearce), qui est envoyé pour enquêter sur une série de mystérieuses disparitions à Fort Spencer, un avant-poste isolé de l'armée sur la frontière de l'Ouest. À son arrivée au fort, Boyd découvre que son nouveau poste est en proie au cannibalisme et à d'étranges événements. Alors qu'il plonge plus profondément dans le mystère, il découvre un sombre secret entourant le commandant du fort, le colonel Hart (Robert Carlyle), qui abrite un secret sinistre et macabre. Boyd se retrouve bientôt piégé dans un réseau de tromperies et de terreur alors qu'il lutte pour découvrir la vérité derrière les disparitions. Alors que la situation devient incontrôlable, Boyd doit affronter ses propres démons et faire face aux horreurs qui se cachent dans les murs de Fort Spencer. Vorace est un film d'horreur à combustion lente qui crée une tension grâce à son atmosphère étrange et à ses visuels troublants. Le rythme du film est délibéré et mesuré, permettant au public d'absorber le sentiment de malaise et de pressentiment qui imprègne le récit. La distribution offre des performances solides, avec Guy Pearce qui se distingue dans le rôle du vaillant capitaine Boyd. Tout au long du film, Kajganich utilise le cadre et les personnages pour explorer les thèmes de la folie, de la violence et du flou des frontières entre la civilisation et la sauvagerie. Vorace est un film d'horreur acclamé par la critique qui a acquis un culte au fil des ans, et son mélange unique de terreur psychologique et d'éléments d'horreur macabres continue de captiver le public aujourd'hui.
Critiques
Gracie
This is definitely one of the most unique zombie movies I've ever seen. And they are such ritualistic zombies, even inviting others to join their ranks! I'll give them a round of applause.
Natalia
A successor to "Pontypool," where the gathering of zombies destroys language barriers and constructs a new Tower of Babel, while the gathering of humans ultimately leads to destruction. The film exudes a nihilistic atmosphere, with ritualistic elements and humor blending seamlessly. This peculiar chemical reaction reaches its peak in the scene with the little policeman's death. Both the genre elements and the plot are pursued with a minimalist approach, avoiding extensive background explanations and rarely referencing the characters' pasts. The characters' actions exist only in the "present continuous tense," and everything ultimately returns to mystery. Some scenes are handled in a style reminiscent of Bresson. This approach, seemingly anti-genre, is actually a faithful return to the spirit of classic zombie films.
Asher
A bizarre blend of rural drama and zombie horror, "Ravenous" suffers from its limited scope. The first half is dull and drawn-out, offering little of interest. The bumbling police officer adds a touch of comedic relief, but the zombies themselves are strangely depicted. They seem to possess a primitive intelligence, with a penchant for stacking furniture, leaving the director's intentions unclear.
Rosemary
Ravenous innovatively blends into the zombie genre. With a decent soundtrack and a passable story, it stands as a literary thriller zombie film. The escape in the mist bears a resemblance to "The Mist." The increasingly high pile of chairs at the end – is it meant to show that zombies are intelligent, or is it just pretentious? I didn't get it... The character development isn't particularly prominent either; poor Sabi the cop.