Saw X

Intrigue
Le méchant autrefois notoire, John Kramer, plus communément appelé Jigsaw, se trouve dans un état de désespoir. L'ombre de la mort plane sur lui, son corps rongé par la cruelle main du cancer. De faibles lueurs d'espoir scintillent dans l'obscurité, mais le sombre pronostic pointe résolument vers un avenir funeste. Estimant que le désespoir médical est son seul réconfort, Kramer se lance dans un voyage malheureux vers la ville mexicaine de Tijuana, où il espère trouver un traitement révolutionnaire capable de vaincre la tumeur maligne qui dévore son corps. Sa confiance dans le processus est de courte durée, car les bas-fonds sordides de ce sanctuaire supposé le trahissent à chaque tournant. Les rues de Tijuana, connues pour leur comportement voyou, donnent à Jigsaw l'occasion idéale d'approfondir les profondeurs de la dépravation humaine qui nourrissent l'essence même de ses actes malveillants. La tromperie imprègne l'air à chaque pas, une cacophonie d'escroqueries attendant de piéger les imprudents. À chaque mensonge, chaque ruse et chaque tour de passe-passe, Kramer s'enfonce plus profondément dans un labyrinthe de douleur, perdant une emprise importante sur sa propre humanité fragile. La rencontre brutale de Jigsaw avec ce monde sinistre éveille en lui une étincelle de rédemption. Armé d'un profond sentiment d'objectif, il met fin à ses jours mourants, les canalisant en représailles. C'est ici, dans ce crépuscule impitoyable, que Jigsaw planifie sa vengeance, orchestrant méticuleusement une descente étonnante dans le chaos. Une foule d'escrocs et d'escrocs sans cœur a mis en branle une entreprise apparemment anodine, utilisant la fragilité humaine comme monnaie d'échange. Kramer reconnaît les parallèles entre ces parasites et les âmes vulnérables qui avaient involontairement franchi sa propre porte au fil des ans. Alors que le jeu commence, ces intrus ramènent Kramer de manière inattendue dans son domaine, le transportant des rues inflexibles du Mexique à la froide obscurité qui réside dans les profondeurs labyrinthiques de son propre esprit troublé. Ce qui suit est une descente implacable dans la marque notoire de torture horrible et sadique de Jigsaw, où un jeu désespéré a ramené Kramer à sa véritable vocation : jouer le rôle de marionnettiste pour les vies pitoyables et brisées qui sont en jeu. Dans Saw X, Jigsaw se révèle une fois de plus comme un maître stratège. Comprenant que la vie a peu de sens et souvent peu de valeur pour ces malheureux individus, Kramer orchestre un spectacle inégalé de forces créatives impitoyables qui broient et dévorent les vies prises dans son jeu notoire. Enivré d'une audace frappante et, curieusement, revigoré par cette redécouverte choquante de son objectif, l'âme torturée de Jigsaw abandonne les fantômes de la mort et, reprenant ses esprits, déchaîne sa vengeance sur le monde. Tout au long du récit macabre, mais passionnant de Saw X, le spectateur est témoin non seulement d'une nouvelle voie tracée dans l'odyssée destructrice de Kramer, mais aussi, en même temps, d'une renaissance inattendue – la cristallisation fatidique d'une croisade de la pensée forgée contre tous ceux qui se nourrissent des vulnérabilités qui ont d'abord inspiré la sinistre croisade de Jigsaw. Le temps de John Kramer est peut-être presque arrivé, mais à travers ce sombre tournant des événements, il réussit toujours à exiger des vivants rien de moins que la purge existentielle qu'il avait toujours exigée et croyait être leur véritable destin – la nécessité impérative de réévaluer le caractère sacré de leur propre vie précieuse, mais fragile.
Critiques
Isaac
Seriously speechless. The movie had that classic *Saw* vibe going strong for most of it, and then it just takes a nosedive with these ridiculous twists. And to top it off, the ultimate twist is just... absurd. It's like finding a dead fly in the middle of your meal. The worst person gets the easiest ending? I just don't get it. And dragging a kid into this mess? Who needs a lesson in inherent human goodness in a *Saw* movie? Are you kidding me? We are so fucking sick – that's what we came for!
Phoenix
One of the biggest problems with the Saw franchise is its weak sense of cause and effect. Sometimes petty thieves get punished severely, while truly heinous individuals manage to escape unscathed...
Rowan
Okay, here's an English translation capturing the darkly comedic tone: "That female doctor was basically a deranged cheerleader: 'C'mon, cut it off! Slice away! You got this! First, let's smash that foot!'" 😂
Valerie
While the first half is a tad slow, the character development for John is excellent in this installment. The twist is somewhat predictable, but the execution is quite satisfying. My main gripe is that the final trap in the main sequence felt a bit generic and lacked the visceral intensity of the earlier ones, especially considering how rewarding the plot twist was.
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