Le Grand Frisson
Intrigue
Dans "Le Grand Frisson", Melvin Smiley (Mark Wahlberg), un tueur à gages affable, se retrouve dans une situation précaire. Constamment exploité par ses collègues impitoyables, Melvin est obligé de naviguer dans le monde dangereux des assassinats contractuels. Lorsque lui et son équipe kidnappent la fille du magnat de l'électronique Benny Chan (Al Borde), les choses prennent une tournure inattendue. Alors que Melvin tente de négocier sa libération, il se retrouve pris dans un réseau complexe de tromperie et de trahison. Ses collègues, dont le rusé et impitoyable Socrates (André Benjamin) et le versatile Gashadee (Leland Orser), semblent plus intéressés à s'en mettre plein les poches qu'à mener à bien le travail. Pendant ce temps, les sentiments naissants de Melvin pour Pam (Lauren Steffie), la fille de Benny Chan, compliquent encore davantage sa situation. Alors qu'il tente de la protéger du danger et de la ramener à son père, Melvin est forcé de faire face aux dures réalités de sa profession et à la vraie nature de ceux qui l'entourent. Le film prend une tournure sombrement comique alors que les tentatives de Melvin de bien faire les choses sont constamment contrecarrées par ses propres collègues. Avec une série de mésaventures et de maladresses croissantes, Melvin se retrouve dans une course désespérée pour survivre et se racheter. Alors que "Le Grand Frisson" se dirige vers sa conclusion explosive, Melvin doit faire face à la question ultime : peut-il échapper aux griffes de ses associés impitoyables et trouver la rédemption dans un monde où la loyauté est un luxe que peu peuvent se permettre ? Avec son mélange d'action, d'humour et de cœur, "Le Grand Frisson" est une aventure palpitante qui tient les spectateurs en haleine jusqu'à la toute fin.
Critiques
Diego
An unexpected turn of events, a failed director and a cast of inept amateurs, but what awaits them is a truly extraordinary life.
Sebastian
This feels like a film only France could produce. If another country were to adapt it, perhaps they would approach it from a more socially significant angle.
Jordan
With Beckett wrangling Joyce's Finnegans Wake manuscripts, it's a wonder he didn't write Waiting for Godot sooner.
Julian
Absolutely loved it! What a delightful surprise! The metaphor of Waiting for Godot is obvious, but brilliantly executed. The actors' performances on stage were stunning, embodying a freedom and despair that I hadn't anticipated. There were moments watching these seemingly mad characters on stage that genuinely brought tears to my eyes. However, I wasn't entirely sold on the ending. The escape felt somewhat unresolved, and the director's on-stage monologue didn't quite manage to ground such a dramatic turn of events and weighty subject matter, nor did it adequately address the moral conflicts of the criminals' escape. Despite that, I thoroughly enjoyed this magnificent story.
Iris
Unlike many inspirational films about "starting from scratch and winning competitions," this play is meaningless for the actors from the very beginning. It offers neither reduced sentences nor financial gain. The cheering and fanfare merely obstruct what they've been waiting for in prison - freedom. As for the director, he consistently uses the story to achieve tangible success and fame, leveraging a nihilistic narrative to satisfy his own existentialist needs. The entire ensemble is absurd enough. Therefore, the ending is crucial as it dismantles both nihilism and existentialism.