L'Arnaque
Intrigue
En pleine Grande Dépression, Henry Gondorff (Paul Newman) et Johnny Hooker (Robert Redford) forment un partenariat improbable pour se venger du cruel Doyle Lonsdale (Robert Shaw), qui assassine brutalement le mentor de Johnny, Louie Carver. Les deux escrocs élaborent un plan pour réaliser l'ultime arnaque, en ciblant le riche ami de Doyle, James F. 'Ferris' Dunlop. Johnny, un petit arnaqueur de Joliet, dans l'Illinois, a perfectionné ses compétences dans la rue et cherche un moyen de sortir de la vie misérable qu'il a toujours connue. Henry, un vétéran chevronné capable de se sortir de presque toutes les situations, voit du potentiel en Johnny et accepte de le prendre sous son aile. Le duo commence par créer une ruse élaborée, en utilisant l'expertise de Henry pour mettre en place une fausse piste de course et en convaincant Doyle qu'ils prévoient de l'escroquer. Pendant ce temps, Henry manipule les événements en coulisses, utilisant son vaste réseau de relations occultes pour recueillir des informations et des ressources pour leur grande arnaque. Alors que Johnny devient de plus en plus habile dans l'art de la tromperie, il commence à se demander s'il est plus qu'un simple petit malfrat. Henry, de son côté, semble animé par un sentiment de vengeance personnelle contre Doyle, qui a assassiné Louie Carver, le mentor et ami de Johnny. Les enjeux sont élevés alors que Johnny et Henry travaillent ensemble pour réaliser le coup parfait, utilisant toutes les astuces possibles pour garder une longueur d'avance sur leurs ennemis. Avec une tension qui monte crescendo vers un climax palpitant, L'Arnaque offre une leçon magistrale de narration, de développement des personnages et d'art cinématographique, cimentant ainsi sa place de classique dans le monde du cinéma.
Critiques
Oakley
Paul Newman is so handsome it leaves me speechless... A truly classic film. I absolutely love the 70s!
Kenneth
"The Sting" is a lighthearted and optimistic film, yet somewhat lacking in character development. The strong narrative focus detracts from deeper character exploration. The plot itself is rather unremarkable, with the con tricks feeling like child's play, portraying the antagonists as complete fools. The movie's length is also a drawback; stretching such a simple story to over two hours results in a disjointed narrative that lacks suspense. The use of title cards to divide the story into chapters further cheapens and weakens the plot, making it feel childish and loose.
April
In the breakneck era of the New Hollywood movement of the 1970s, the emergence of a film with such a retro vibe was perhaps a rebellion in itself, from the story to the techniques employed. The trio of Newman, Redford, and Hill together exude a special kind of quality.
Nora
Absolutely brilliant from start to finish! A superb film in every aspect, especially the music. Paul Newman could kill with just a look. The fact that Pitt so resembles Redford just proves that American aesthetic tastes haven't changed much in decades.
Cora
Paul Newman is dashingly handsome in a way that feels deliberate and classic. Robert Redford, as expected, bears a striking resemblance to a young Brad Pitt, boasting a bright, charming face and those unmistakable, sparkling eyes. Even his wardrobe seems reminiscent of Pitt's look in "Ocean's Twelve."
Elsie
The Sting masterfully blurs the line between vice and redemption, offering a morality tale wrapped in a web of deception.