Y a-t-il enfin un pilote dans l'avion ? 2

Y a-t-il enfin un pilote dans l'avion ? 2 est une parodie réalisée par Ken Finkleman, sortie en 1982. Le film est la suite du film de 1980 Y a-t-il un pilote dans l'avion !, également une parodie des films catastrophes. Y a-t-il enfin un pilote dans l'avion ? 2 suit les aventures de Ted Striker, joué par Robert Hays, un ancien pilote au passé compliqué. L'histoire commence avec Ted et son amoureuse, Elaine Dickinson, jouée par Julie Hagerty, qui tentent toujours de résoudre leurs problèmes relationnels. Elaine, hôtesse de l'air, décide de quitter son emploi sur la navette spatiale de passagers, qui s'apprête à embarquer pour une mission sur Mars. Cependant, un système informatique défectueux, connu sous le nom de « OCP-18 », provoque la déviation de la navette et sa trajectoire directe vers le soleil. Alors que la navette se dirige vers sa destination catastrophique, l'équipage tente de rectifier la situation en redémarrant le système informatique, mais cela entraîne une série de mésaventures comiques. Pendant ce temps, Ted, se sentant coupable de ses erreurs passées, décide de retourner au centre de contrôle de la mission des navettes spatiales pour empêcher la catastrophe imminente. À son arrivée, Ted découvre que l'équipe du centre de contrôle de la mission, composée d'un groupe de scientifiques excentriques, est incapable de communiquer avec la navette en raison d'un problème technique connu sous le nom de « Le Gros Problème ». Le système informatique a été réinstallé 37 fois, mais a échoué à chaque fois. Frustrée et dépassée, l'équipe ne sait plus quoi faire. Alors que Ted essaie d'aider l'équipe du centre de contrôle de la mission, il est constamment contrecarré par sa propre incompétence et son manque de connaissances dans le domaine des systèmes informatiques. Malgré son manque d'expertise, Ted est déterminé à sauver la situation et à remettre la navette sur les rails. Dans une tentative de se connecter au système informatique de la navette, Ted commence à avoir des conversations avec l'OCP-18, utilisant son esprit et son charme pour tenter de déjouer le système. Cependant, cela se traduit par une série d'échanges humoristiques entre Ted et l'ordinateur, l'OCP-18 qualifiant à plusieurs reprises Ted d'« imbécile ignorant ». Alors que la navette continue de filer vers le soleil, les tentatives de Ted pour communiquer avec le système informatique deviennent de plus en plus désespérées. Il commence à se fier à son instinct, utilisant sa connaissance des anciens systèmes informatiques pour tenter de déjouer l'OCP-18. L'équipe du centre de contrôle de la mission, composée d'une distribution de personnages excentriques et maladroits, apporte une grande partie du soulagement comique du film. L'équipe comprend un scientifique avec une personnalité extravagante, joué par Peter McCarthy, et un expert en informatique qui tombe amoureux de l'OCP-18, joué par Roberta Weiss. Tout au long du film, la relation de Ted avec Elaine est également explorée. Les deux personnages se montrent en difficulté pour concilier leurs différences, Elaine se sentant de plus en plus frustrée par le manque d'engagement de Ted. Cependant, au fur et à mesure que la mission se déroule, le couple est forcé de mettre de côté ses différends et de travailler ensemble pour sauver la navette et son équipage. À l'approche de l'acte final du film, les tentatives de Ted pour contacter la navette deviennent de plus en plus urgentes. Utilisant sa connaissance des anciens systèmes informatiques, Ted parvient finalement à se connecter à l'OCP-18 et à le convaincre de changer de cap. La navette est contrainte de faire un atterrissage d'urgence sur la lune, où l'équipage doit survivre jusqu'à l'arrivée des secours. Au final, la détermination et l'ingéniosité de Ted finissent par sauver la situation, et il est réuni avec Elaine. Le film se termine par un clin d'œil ironique au genre catastrophe, l'OCP-18 commentant qu'il a tiré une leçon précieuse de sa rencontre avec Ted : « Ne jamais, en aucun cas, faire confiance à un homme en combinaison spatiale. »