Alexandre

Intrigue
Situé au IVe siècle avant notre ère, Alexandre, roi de Macédoine, est un film qui retrace la vie d'Alexandre III, une figure légendaire qui allait changer le cours de l'histoire. Le film, réalisé par Oliver Stone, est une histoire épique de conquête et d'ambition, alors que les campagnes militaires d'Alexandre le mènent à travers le monde antique. Le film commence par une brève introduction à l'enfance d'Alexandre, interprété par Rory Fitzsimons, lorsqu'il assiste à l'assassinat de son père, le roi Philippe II de Macédoine, par un groupe de nobles menés par un général impitoyable et perfide nommé Attale. À la suite de la mort de son père, Alexandre monte sur le trône à l'âge de 20 ans, déterminé à réaliser ses rêves de grandeur et à se faire un nom parmi les anciens Grecs. Alexandre, maintenant interprété par Colin Farrell, entreprend de consolider son pouvoir et d'unifier les cités-États grecques en guerre sous son règne. Il s'impose comme un brillant stratège militaire, utilisant son charisme et son intelligence pour inspirer ses soldats et remporter des batailles clés contre ses rivaux. Au fur et à mesure que son pouvoir grandit, son ambition grandit également, et Alexandre jette son dévolu sur le vaste empire perse, dirigé par l'énigmatique et tyrannique roi Darius III. Lorsqu'Alexandre et son armée pénètrent en Asie Mineure, ils se heurtent à une vive résistance de la part des Perses, qui n'ont pas encore réalisé l'étendue véritable des prouesses militaires d'Alexandre. Dans une série de batailles épiques, les troupes d'Alexandre affrontent les Perses, utilisant des tactiques innovantes et une discipline militaire pour vaincre leurs adversaires, plus nombreux mais moins bien entraînés. La première grande bataille, livrée sur le fleuve Granique, est une victoire importante pour Alexandre, car sa formation de phalange s'avère être un tournant dans sa campagne. Après la bataille du Granique, Alexandre et son armée poursuivent leur route, conquérant les satrapies perses les unes après les autres, tandis qu'Alexandre fait face à des conflits internes et à des luttes de pouvoir de la part de ses nobles et généraux. Malgré ces défis, Alexandre reste concentré sur son objectif ultime : vaincre le roi Darius et conquérir l'empire perse. Alors que l'armée d'Alexandre s'enfonce plus profondément en Asie Mineure, les enjeux deviennent plus importants et les batailles plus intenses. La bataille d'Issos, livrée en 333 avant notre ère, est l'un des moments les plus cruciaux du film, car Alexandre en sort victorieux et le roi Darius est contraint de s'enfuir. Cette victoire marque un tournant dans la campagne d'Alexandre, car il tourne maintenant son attention vers la conquête du cœur de l'empire perse. La prochaine confrontation majeure est la bataille de Tyr, où les forces d'Alexandre affrontent une ville fortement fortifiée, défendue par une garnison loyaliste et une puissante flotte perse. Malgré les chances décourageantes, Alexandre ordonne à ses troupes de construire une chaussée menant à l'île, où elles lancent une attaque surprise sur la ville. Après une bataille tendue et sanglante, la ville tombe et l'empire perse subit un coup dévastateur. Les victoires ultérieures d'Alexandre en Égypte et à Babylone, où il est accueilli comme un libérateur, consolident son statut de conquérant légendaire. Alors qu'il marche à travers le monde antique, son empire s'étend, englobant les territoires de la Turquie moderne, de l'Irak et de certaines parties de l'Iran. L'armée d'Alexandre ne rencontre que peu de résistance, car elle rencontre diverses tribus et cités-États qui sont soit intimidées, soit séduites par le charme et le charisme du conquérant. Pendant ce temps, la vie personnelle d'Alexandre devient de plus en plus compliquée, car il subit des pressions de sa famille, de ses nobles et de ses conseillers pour se caser et produire un héritier. La relation d'Alexandre avec son ami et compagnon de toujours, Héphaestion, joué par Jared Leto, ajoute un élément poignant et humanisant au film, alors que les deux hommes sont confrontés à leur propre mortalité et aux conséquences de l'ambition dévorante d'Alexandre. Alors que l'empire d'Alexandre atteint son zénith, il se tourne vers le sous-continent indien, où il espère trouver de nouvelles richesses et étendre sa domination. Cependant, les batailles en Inde s'avèrent plus difficiles que prévu, et les troupes d'Alexandre sont confrontées à des conditions de plus en plus pénibles et à un ennemi plus déterminé. Malgré ces revers, Alexandre reste inflexible, animé par son insatiable soif de gloire et son désir de laisser un héritage durable. Dans l'acte final du film, Alexandre retourne à Babylone, où il meurt à l'âge de 32 ans, prétendument après une crise de boisson excessive et un empoisonnement par un courtisan qui était en colère contre la paranoïa croissante d'Alexandre. La mort d'Alexandre marque la fin d'une ère, car son empire commence à s'effondrer et ses successeurs se disputent le pouvoir. Tout au long du film, Oliver Stone établit des parallèles entre l'ascension au pouvoir d'Alexandre et les anciens idéaux grecs d'héroïsme et de patriotisme. Le voyage d'Alexandre est dépeint comme une quête héroïque de grandeur, motivée par le désir d'accomplir son destin et de laisser un impact durable sur le monde. À la fin du film, l'héritage d'Alexandre perdure, car son empire perdure et son nom devient synonyme de bravoure, de courage et d'ambition.
Critiques
Rosie
1. The three-and-a-half-hour Final Cut completely erased the bad impression I had of the 175-minute version from years ago. Another masterpiece ruined by editing! This Final Cut is definitely one of the most outstanding epics of the early 21st-century historical film wave. 2. The narrative perspective of old Ptolemy's reminiscence is very clever. On the one hand, it provides legitimacy to the jumping timeline. On the other hand, Ptolemy's deconstruction of self-narration at the end reinforces Alexander's greatness and tragedy. In addition, it also allows the audience to catch a glimpse of the magnificent Alexandria of the Ptolemaic era. 3. Selecting the battles of Gaugamela and Hydaspes from the four great campaigns of Alexander's life...
April
Alright, let's dissect the BL tropes they crammed into this flick. Alexander and Hephaestion? Total Reinhardt and Kircheis vibes, but make it ancient Greece. I'm betting Alex was thinking of Heph every damn time he bedded someone else, and yet THEY. DIDN'T. HAPPEN. The single kiss scene got axed! And Bagoas... sweet, understanding, knows his place... you almost feel for the guy, but the styling? Seriously assaulted my eyeballs. I'm practically charcoal from the sheer shock.
Malakai
Watching the 3.5-hour director's cut.
Maeve
Just like Kingdom of Heaven, you absolutely have to watch the Director's Cut. No matter how much the critics trashed it, I just love this movie! Stone directed this film right when epic movies were flooding the market, so despite its powerful cast, it was immediately labeled as a brainless commercial flick, which is so unfair! The most memorable thing for me is Jared Leto's Hephaestion. When he goes to deliver the rings before Alexander's wedding, that vulnerable, animal-like look in his eyes, with tears welling up! His death completely broke me.
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