Spartatouille

Intrigue
Spartatouille est un film parodique réalisé par Jason Friedberg et Aaron Seltzer, sorti en 2008. Le film est une version comique du film 300 de 2006, qui est une dramatisation épique historique de la bataille des Thermopyles, où une petite force de Spartiates menée par le roi Léonidas a combattu contre l'armée perse envahissante. Le film commence par une version comique du générique d'ouverture de 300, avec un montage de divers personnages historiques et fictifs faisant des apparitions amusantes, y compris un camée de Paris Hilton en tant qu'héritière bossue, plus préoccupée par la prise de selfies et le bronzage que par le combat. Pendant ce temps, Léonidas, joué par Sean Maguire, est présenté comme le chef courageux et flamboyant des Spartiates. Léonidas rassemble son équipe de 13 Spartiates, qui comprend une variété de personnages excentriques et comiques, chacun avec ses propres talents et personnalités. Il y a un personnage de type Spartacus (joué par Kevin Sorbo), un type avec une mauvaise coupe de cheveux (joué par Christopher Walken), un type avec une voix très aiguë (joué par Travis Schuldt) et un Spartiate joué par Carmen Electra. L'équipe se prépare pour une bataille épique contre l'armée perse dirigée par le roi Xerxès Ier, le souverain de l'empire. Au fur et à mesure que l'histoire se déroule, l'absurdité à la Monty Python s'ensuit alors que les Spartiates rencontrent une série de défis bizarres et humoristiques alors qu'ils se dirigent vers les Portes Chaudes des Thermopyles, un passage étroit où ils prévoient d'engager l'armée perse. En chemin, ils rencontrent un assortiment de figures de la culture pop, dont Al Pacino en tant qu'entraîneur coriace, Drowning Pool en tant que groupe de motivation de l'équipe, et un camée de Fonzie de Happy Days, qui est toujours cool et n'a donc aucun problème dans le feu de l'action. En atteignant les Portes Chaudes, les Spartiates mettent en place leurs défenses, qui comprennent un mur de bataille de style spartiate impressionnant mais ridicule, et se préparent pour la bataille à venir. À l'arrivée des Perses, les Spartiates affrontent une série d'adversaires loufoques et exagérés, notamment les Transformers, le Ghost Rider et même Paris Hilton, qui se révèle être un ennemi plus redoutable que prévu, armée d'une paire de chatons moelleux et d'une réserve infinie de selfies. La confrontation comique qui s'ensuit est une séquence épique et pleine d'action de batailles et de gags ridicules, avec les Spartiates combattant les Perses avec des tactiques et des gadgets ridicules. D'une catapulte géante qui tire des moutons enflammés aux boucliers de confiance des Spartiates, de style "300", qui deviennent soudainement des frisbees géants, aucune quantité d'absurdité ou de stupidité n'est hors limites. Pendant ce temps, Xerxès, joué par Cary Elwes, est obsédé par l'idée de battre les Spartiates et d'atteindre son objectif d'envahir et de conquérir la Grèce. Il utilise sa ruse et ses capacités magiques pour faire pencher la bataille en sa faveur, mais pas avant d'avoir été déjoué par l'équipe de Spartiates improbables. En fin de compte, la bataille des Thermopyles se résume au courage et à la ténacité des Spartiates, menés par Léonidas, contre la force apparemment imparable des Perses et leurs renforts infinis de la culture pop. En fin de compte, les Spartiates prouvent que même avec toutes les chances contre eux, un groupe de 13 braves guerriers peut faire une réelle différence. Spartatouille est une parodie hilarante de 300, pleine d'humour burlesque, de répliques spirituelles et d'une bonne dose d'absurdité. C'est un film qui sait ce qui a fait de 300 un succès - son ampleur épique et sa bravade - et qui le prend à contre-pied, se moquant de tout ce qui a fait le succès du film en premier lieu. Avec son humour décalé, ses références hilarantes à la culture pop et son esprit irrévérencieux, cette comédie est le complément parfait à 300, ce qui en fait une aventure follement divertissante et mémorable du début à la fin. "humour Spartatouille, parodie hilarante.
Critiques
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