Mickey 17

Mickey 17

Intrigue

Mickey 17, un thriller de science-fiction captivant, plonge dans la vie complexe des travailleurs immortels, génétiquement modifiés, créés pour servir divers employeurs. Au premier plan de ce récit stimulant se trouve Mickey Barnes, un héros improbable dont l’existence transcende les normes humaines ordinaires. En tant que clone doté de capacités de régénération, Mickey habite un monde où la mort n’est pas la mortalité, mais plutôt un aspect calculé et inévitable de son destin. Sous l’emploi de Reviva Corp, Mickey fonctionne comme un « immortel », travaillant pour servir un objectif particulier au-delà des limites de l’emploi conventionnel. Son devoir consiste à assumer différentes personnalités, laissant derrière lui des vies qui se défont comme celles de souvenirs fugaces. Dans ce paysage désolé de renaissance sans fin, le sens de soi de Mickey devient une fragmentation constante, perturbée par ses réincarnations incessantes. Mickey est confronté à une sombre réalité, regardant la vie passer à travers le prisme de multiples identités. Au fur et à mesure qu’il construit progressivement des relations et nourrit des liens, ces moments sont inévitablement suivis par la rupture et le silence. La mort, une entité autrement indissociable de son existence, est présentée comme une conséquence – bien qu’un événement contrôlé et orchestraire orchestré par son employeur. Alors qu’il est aux prises avec ces dilemmes inhérents, Mickey nourrit involontairement un désir insatisfait : échapper aux machinations de relance de son entreprise et transcender la longévité circonscrite qui lui est prédestinée. Ses circonstances particulières sont liées à une nouvelle stipulation négociée avec Reviva, qui exige que Mickey accepte le travail au point de perdre sa vie. Un arrangement désastreux qui cherche à assurer la satisfaction au travail : un engagement total à la position s’accompagne d’un engagement irrévocable à la cessation d’emploi éventuelle. La mort sert de conséquence logique à tous les aspects de ses exigences de travail. Ainsi, son engagement professionnel contraste fortement avec la vie au-delà que Mickey attend avec impatience de vivre. Avant la circonstance singulière et singulière dans laquelle Reviva est devenu son employeur, Mickey a été confronté à de graves difficultés économiques et à la marginalisation en tant que solitaire marginalisé, gagnant sa vie de manière imprévisible dans un monde transitoire et vaste au-delà de la surveillance de son entreprise. Sa vie reste désormais – cependant – subsumée sous le spectre strict et réglementé des schémas d’emploi prédéterminés, qui définissent et prédéterminent ses activités et ses actions tout en marquant simultanément la trajectoire prévisible de son destin. Mais Mickey n’est pas simplement un participant complaisant à sa boucle perpétuelle de mort et de renaissance. Il porte en lui les graines de la révolte au milieu de son aspiration existentielle et des fragments de souvenirs qui lui ont été offerts par les incarnations de sa vie passée. Ces restes évoquent une faible lueur de son désir de transcendance – une voie d’évasion d’une existence dédiée au sacrifice et à la recherche d’un sens au milieu de la servitude. Un changement profond au sein de Mickey s’enracine lentement à mesure que les frontières entre son personnage de travail immortel et son moi fragmenté commencent à s’estomper. Au fur et à mesure que les liens se renforcent avec un petit groupe d’autres immortels, dont Midge, il est exposé aux expériences humaines désintéressées de liens empathiques, d’amour et de connaissances collectives, dissolvant efficacement son aliénation. Un voyage déchirant se déroule en réponse au travail écrasant imposé par Reviva, motivé par la conscience croissante de Mickey de la dynamique complexe régissant les relations entre son espèce. Aux côtés d’un groupe de travailleurs insubordonnés qui refusent désormais de se soumettre volontairement à un cycle de sacrifices inutiles et permanents dans un régime de travail inflexible, Mickey commence à perdre de vue les engagements qui sapent tout ce qu’il avait autrefois envers un système qui ne semble plus légitime ou équitable. Son histoire résonne à travers les lignes de la révolte – même face à une conception institutionnelle écrasante visant à contrôler les potentialités subversives au sein d’une classe immortelle. Mais l’insurrection de Mickey ne se traduit pas par de simples soulèvements tumultueux et passionnés, mais plutôt par des découvertes progressives qu’il peut – dans une certaine mesure du moins – parvenir à contrôler son propre destin.

Mickey 17 screenshot 1
Mickey 17 screenshot 2
Mickey 17 screenshot 3

Critiques

C

Cole

Bong Joon-ho turned what could've been a neat 20-minute "Love, Death & Robots" episode about a Swarm into a 140-minute movie. 😂 It's almost as if his mastery of genre filmmaking is so ingrained it comes across as...formulaic. #Berlinale75

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6/22/2025, 11:41:00 AM
K

Knox

Okay, here's that summarized and translated for an English-speaking audience, aiming for a tone that fits the potential weirdness of *Mickey 17*: **"Bottom line: Trump tries to colonize Greenland, gets mauled by a polar bear."**

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6/18/2025, 3:18:51 AM
V

Vincent

This movie single-handedly shatters the stereotype that foreigners don't drink hot water – they're taking electric kettles and chrysanthemum tea to other planets!

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6/17/2025, 5:20:24 PM
T

Thomas

Alright, Bong Joon-ho, you owe me some money this time!

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6/17/2025, 10:08:44 AM
N

Nia

With "Mickey 17," Bong Joon-ho seems to have fully embraced the Hollywood blockbuster formula. Highlighting Black actors for that politically correct moment, he stirs in a quirky premise, a hefty budget, and a neatly wrapped-up ending. The result? A chaotic mess, frankly. The cardinal sin here is just how utterly boring it all is.

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6/16/2025, 12:51:05 PM