Le Cercle des neiges

Le Cercle des neiges

Intrigue

Le Cercle des neiges est une adaptation de l'histoire vraie du vol 571 de l'armée de l'air uruguayenne, un récit poignant de tragédie, de survie et de l'indomptable esprit humain. Le film commence avec une équipe de rugbymen accomplis de l'Old Christians Rugby Club en Uruguay embarquant à bord d'un avion affrété, le vol 571 de l'armée de l'air uruguayenne. L'équipe, menée par l'entraîneur Rafael et le capitaine Guillermo Mondino Zubiria, entreprend un voyage à Santiago, au Chili, pour un match de haut niveau contre une équipe chilienne de premier plan. Le film déplace son attention sur l'équipage alors que les passagers se préparent pour le long vol. Aux commandes de l'avion se trouve le capitaine Julio César Ferradás Fernández, un aviateur talentueux mais tempéramentiel avec une riche expérience à son actif. Il est accompagné du copilote Eduardo Osvaldo González et du mécanicien de bord Alfredo 'Alfy' del Puerto. La bravade et l'assurance de l'équipage seraient mises à rude épreuve alors que le destin avait d'autres plans. Ce jour fatidique du 13 octobre 1972, l'avion décolle, survolant les Andes à couper le souffle, atterrissant brièvement à Mendoza, en Argentine, pour une escale de ravitaillement prévue. Les passagers engagent des plaisanteries légères et taquinent joyeusement l'équipage alors que l'avion s'élève une fois de plus dans le ciel. Le paysage se déploie comme une toile à couper le souffle en contrebas, avec les pics accidentés et les glaciers austères faisant signe au loin. Cependant, à leur insu, ce serait le moment où leur vol croiserait le destin. Juste avant l'heure du déjeuner, la catastrophe frappe. Tout en naviguant sur une trajectoire de vol de routine au-dessus des sommets enneigés, le capitaine Ferradás perd le contrôle de l'avion en raison d'un brouillard de glace qui limite considérablement la visibilité. L'avion vire violemment, fonçant au-dessus de la surface instable du glacier avant de s'y écraser dans un rugissement assourdissant de métal tordu et d'arbres qui se brisent. La panique envahit l'avion alors qu'un moteur à réaction se tord et que le tissu même de la structure de l'avion commence à se désintégrer. Miraculeusement, les survivants parviennent à s'extraire de l'épave de l'avion. Bientôt, le chaos cède la place à un profond sentiment d'impuissance. Blessés et séparés de leurs proches, les survivants n'ont initialement aucune direction ou but clair. Les blessures fébriles et les tempêtes de grésil incessantes conspirent contre eux alors qu'ils sont forcés d'accepter que les efforts de sauvetage devront attendre que le temps s'améliore. Déterminés à préserver la vie des blessés, les survivants improvisent, utilisant des bâches et tous les matériaux disponibles pour créer un abri de fortune. Pendant cette période tumultueuse, une hiérarchie des tâches se forme au sein de l'équipe. Le capitaine Ferradás, bien que mortellement blessé, reste déterminé à diriger les efforts de sauvetage dans l'environnement glacial et hostile. Initialement considéré comme mort, il joue un rôle essentiel jusqu'à la fin. Au lever du jour, des leaders émergent en Carlos Páez et Roberto Canessa. Ils croient que le pilote a été tué et que seuls la liste des passagers et les détails de propriété de l'avion restent pertinents. Ils ne savent pas que le capitaine Ferradás est vivant, quoiqu'en train de mourir. Les leaders dynamiques établissent des directives de communication pratiques pour initier l'assistance. Ils exhortent les survivants à rester optimistes quant au sauvetage, documentant soigneusement les événements dévastateurs dans un rapport d'inventaire. Mais l'obstacle le plus redoutable s'avère être les corps gelés de leurs coéquipiers. Peuvent-ils oser l'impensable pour survivre ? La lutte pour la survie devient de plus en plus désespérée au fil des jours et des semaines. Douze mois et demi après le jour de l'accident, l'alerte de sauvetage par hélicoptère de juin 1973 donne de l'espoir. Les survivants, qui ont résisté au désespoir absolu en développant de nouveaux rituels – des chansons et des jeux – introduits dans le cadre de leurs liens mutuels, conservent à peine leur esprit. Même si seules les dernières figures de cette liste étaient encore en vie à ce moment-là, elles endurent la faim en attendant avec impatience d'être secourues. L'histoire emblématique mais vraie qui dévoile les compétences de survie face à ces chances désespérées n'est plus que le cœur, qui est resté fort. Aujourd'hui, près de 48 ans après cette catastrophe quasi mortelle, et malgré l'observation de l'impact réel et de l'histoire dure et inexplorée des joueurs de rugby uruguayens, le même lien profond se forme autour d'eux aujourd'hui, le cœur se souvient inébranlablement l'une des histoires les plus incroyables que nous connaissons aujourd'hui sur les joueurs de rugby uruguayens.

Critiques

M

Mason

I think a large part of their survival hinges on the fact that they were athletes in peak physical condition and at their prime age. They were already familiar with and trusted each other, which eliminated any internal conflict stemming from building trust or establishing leadership. An average person likely wouldn't have fared so well.

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6/19/2025, 2:48:24 PM
W

Willow

I believe every friend who perished would want the living to consume their bodies.

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6/17/2025, 12:17:53 PM
Z

Zachary

Among the few films this year that are technically astounding: "Oppenheimer" and "Society of the Snow." The sound design, score, cinematography, makeup, and other aspects of this film are incredibly imaginative. The sound of the plane's fuselage shuddering in the wind and the bizarre angle of the light reflecting off the blood as it drips upside down onto faces are applause-worthy. This is a film meant for the theaters, where the rich sound design and the both horrifying and magnificent snowscapes can be truly appreciated. The pacing and segmentation of the film are exceptionally well done. For a disaster movie, it repeatedly subverts the audience's expectations of the plot, while...

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6/17/2025, 6:44:36 AM
L

Lola

That's a film that stretches a 90-minute story to over two hours.

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6/12/2025, 8:08:39 AM
J

Joshua

Bayona's reverence for this story and these individuals is palpable. He deliberately tones down moments that could easily be sensationalized or overly dramatized, allowing the central themes to permeate gradually instead of revealing them prematurely. As a result, the struggle for survival feels overwhelmingly agonizing for the viewer, ultimately making the rescue sequence all the more emotionally rich and rewarding. This approach showcases Bayona's refusal to resort to cheap sentimentality in his storytelling.

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6/9/2025, 11:18:26 PM