Le crime était presque parfait...

Intrigue
Le crime était presque parfait... s'inspire des histoires emblématiques d'Agatha Christie, transportant le détective belge, Hercule Poirot, dans les rues de Londres pour démêler les complexités d'une série de meurtres apparemment sans rapport, mais tous liés par un fil de synchronicité et d'ingéniosité. Le titre lui-même annonce le thème central des meurtres orchestrés selon les initiales des victimes, chaque victime connaissant une fin prématurée qui correspond à sa séquence alphabétique. Le film commence par la présentation de Poirot, le détective pointilleux et méthodique, réputé pour son esprit vif et son penchant pour la précision des détails. C'est grâce à l'enquête de Poirot que le public prend conscience des terribles meurtres qui mettent Londres en état d'alerte. La première victime est Emily Blunt, dont l'initiale, un 'E', devient un tatouage macabre retrouvé sur la scène du crime, en plus de ses initiales gravées sur le corps de sa victime. Alors que Poirot s'investit dans l'affaire, il découvre d'autres victimes dont les corps ont été retrouvés correspondant à chaque lettre de l'alphabet, culminant avec la lettre 'Z', qui marque la fin d'une séquence de brutalités apparemment interminable. Ces meurtres, bien qu'apparemment sans rapport, sont habilement liés par une figure mystérieuse connue uniquement sous le nom de 'A', ou 'Le tueur alphabet' dans les médias. La nature énigmatique des meurtres a captivé l'attention du pays, et Poirot doit naviguer dans un réseau complexe d'indices et de tromperies pour démasquer le tueur. Grâce à son enquête minutieuse, Poirot identifie divers schémas et incohérences, qui l'amènent tous à interroger et à examiner divers suspects. Parmi ceux-ci, notamment, un homme du nom de Frank Carter, qui possède un parc d'attractions avec un billet 'E', une référence à la victime, Emily Blunt, dont l'initiale était également un 'E'. Alors que Poirot approfondit l'affaire, de plus amples informations sur Carter et sa famille commencent à faire surface, suggérant que leurs vies apparemment ordinaires pourraient cacher un sombre secret. De plus, un lien mystérieux entre la sœur de Carter et une autre victime commence à émerger. Les liens et les motifs que Poirot découvre brossent un tableau complexe de relations et de mobiles, que le détective belge explore et analyse méticuleusement. Au centre de ce récit embrouillé se trouve une raison plus profonde et plus sinistre à la séquence des meurtres. Cela implique un élément apparemment sans rapport qui relie plusieurs des victimes et les connecte par une chaîne d'événements remontant à plusieurs années. La vérité, découvre Poirot, repose sur un événement tragique du passé qui a eu des conséquences imprévues et irréversibles dans le présent. Alors que Poirot approche de la fin de son enquête, il doit affronter l'obscurité qui s'est cachée derrière la façade apparemment ordinaire des habitants de Londres. Grâce à un mélange de raisonnement logique, d'instinct et d'une touche de perspicacité psychologique, Poirot finit par percer le mystère derrière les meurtres apparemment sans rapport. L'identité du tueur alphabet est révélée, et alors que la justice est rendue, Poirot est lavé de tout soupçon, ayant ramené l'ordre dans un monde chaotique. Le crime était presque parfait... est un thriller intrigant et intelligent qui, comme son matériel source, met au défi son protagoniste et le spectateur d'assembler des éléments apparemment sans rapport, démêlant lentement le mystère jusqu'à ce que la vérité se précise enfin.
Critiques
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