Woodlands Dark and Days Bewitched : Une histoire de l’horreur folklorique

Woodlands Dark and Days Bewitched : Une histoire de l’horreur folklorique

Intrigue

Woodlands Dark and Days Bewitched : Une histoire de l’horreur folklorique est une exploration cinématographique qui plonge dans l’histoire riche et complexe de l’horreur folklorique, un genre qui a captivé le public avec sa représentation étrange et souvent troublante des paysages ruraux et des forces obscures et surnaturelles qui s’y cachent. De ses modestes débuts au Royaume-Uni à la fin des années 1960 à sa prolifération à la télévision britannique dans les années 1970 et de ses nombreuses manifestations dans divers pays, ce genre a évolué au fil des ans, reflétant les angoisses et les peurs culturelles de son époque. Le film commence avec la sortie du film de Piers Haggard en 1971, Le squelette du diable, un des premiers exemples d’horreur folklorique qui a donné le ton au genre. Cependant, c’est le film de Robin Hardy en 1973, The Wicker Man, qui a vraiment cimenté la place du genre dans l’histoire du cinéma. Ce film emblématique, mettant en vedette Edward Woodward dans le rôle d’un policier qui se rend sur une île écossaise isolée pour enquêter sur la disparition d’une jeune fille, est un chef-d’œuvre de suspense et de pressentiment, car il dévoile lentement un conte d’anciennes pratiques païennes et de sacrifice humain. L’influence de The Wicker Man se fait encore sentir aujourd’hui, et sa signification culturelle témoigne du pouvoir durable du genre de l’horreur folklorique. Les années 1970 ont également connu une prolifération de l’horreur folklorique à la télévision britannique, avec de nombreux films et séries explorant le côté sombre de la vie rurale. Le film met en lumière le travail de réalisateurs tels que Lindsay Shonteff et Don Sharp, qui ont produit une série de films d’horreur folklorique, notamment The House of Seven Corpses et The Hunchback of the Morgue, respectivement. Ces films n’ont peut-être pas eu le même impact culturel que The Wicker Man, mais ils ont contribué à faire du genre un pilier du cinéma britannique. Cependant, l’horreur folklorique n’est pas propre au Royaume-Uni, et le film explore les manifestations du genre dans divers pays. Le documentaire met en lumière les films d’horreur folklorique japonais des années 1960 et 1970, notamment Kwaidan et Blind Beast, qui partagent un sentiment similaire de malaise et de pressentiment qui est caractéristique du genre. Ces films, qui utilisent souvent des thèmes folkloriques et mythologiques, offrent une perspective unique sur la condition humaine et notre place dans le monde naturel. La résurgence de l’horreur folklorique au cours de la dernière décennie a vu une nouvelle vague de cinéastes s’inspirer de la riche histoire du genre. Le film met en lumière le travail de réalisateurs tels qu’Ari Aster et Robert Eggers, qui ont produit des succès critiques tels que Hérédité et The Witch, respectivement. Ces films, bien qu’ils ne soient pas strictement de l’horreur folklorique, partagent un sentiment similaire de malaise et de pressentiment qui est caractéristique du genre. Hérédité d’Aster, en particulier, s’inspire fortement de la tradition de l’horreur folklorique, en utilisant des thèmes de traumatismes familiaux et de pratiques païennes pour créer un sentiment de malaise et de crainte. Tout au long de son exploration de l’horreur folklorique, le film soulève des questions sur la signification culturelle du genre et sa réflexion sur nos peurs et nos angoisses collectives. L’horreur folklorique est souvent considérée comme une réaction à l’évolution du paysage social et culturel de la fin des années 1960 et 1970, une période de grands bouleversements et de transformations sociales. L’utilisation par le genre des paysages ruraux et des pratiques païennes sert de métaphore puissante pour la déconnexion entre la société moderne et le monde naturel. De plus, le film met en lumière l’influence souvent négligée du folklore et de la mythologie sur l’horreur folklorique. L’utilisation par le genre de thèmes mythologiques et folkloriques sert de commentaire sur notre relation avec le monde naturel et notre place dans celui-ci. Le film met en lumière le travail de cinéastes qui ont utilisé l’horreur folklorique pour explorer ces thèmes, notamment le film de John D. Hancock en 1976, The Little Girl Who Lives Down the Lane, qui utilise un thème folklorique pour explorer le traumatisme et la violence d’une jeune fille. En conclusion, Woodlands Dark and Days Bewitched : Une histoire de l’horreur folklorique est une exploration complète de l’histoire riche et complexe du genre. De ses débuts au Royaume-Uni à la fin des années 1960 à sa prolifération à la télévision britannique dans les années 1970 et de ses nombreuses manifestations dans divers pays, l’horreur folklorique a évolué au fil des ans, reflétant les angoisses et les peurs culturelles de son époque. Le film met en lumière le travail de nombreux cinéastes qui ont contribué au genre, y compris certains des plus influents et des plus grands succès critiques de la dernière décennie. Grâce à son exploration de l’horreur folklorique, le film soulève des questions sur la signification culturelle du genre et sa réflexion sur nos peurs et nos angoisses collectives.

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Critiques